Complainte mélodieuse se pencha vers l'eau illuminée par le soleil de l'après-midi, fort et vaillant ce soleil rythme les jours de chaque chats car quand viens le froid, alors la vie ralentie et plus ne bouge. En saison des feuilles vertes les poissons font leur arrivée dans les eaux calmes. Complainte mélodieuse comtemplait donc son reflet dans les eaux sans mouvement et elle cherchait au plus profond de l'eau des petits poissons à attrapper.

Lourdement, elle s'assis sur son derrière avec une absolue non-delicatesse ses oreilles dréssées sur le sommet de son crâne poillus elle attendait avec calme que l'eau ne bouge légérement. Mais il ne se pasait rien Elle lâche de l'air de ses narines d'un air stupide. Elle n'en pouvait plus là nuit s'était très mal passée pour elle mais elle voulait tout de même essayer de pêcher. Elle fixa les bords de la rivière avant que son regard ne se pose sur un chat aux yeux vert et au pelage gris. Elle leva légérement son museau, voyant un léger mouvement dans l'eau. Complainte se dit donc qu'elle y trouverait surement du poisson. Elle se leva donc et marcha d'un pas lent vers le matou avant de s'assoir à côté de lui et d'enfoncer une patte dans l'eau etr d'en sortir habilement un poisson, enfonca ses corcs dedans et même si il remua un peu il ne tarda pas à s'éteindre. Le voilà mort. Et le chat à son côté n'avait pas réagis.

« Salut. Coeur de Lion non? Je ne t'ai pas volé ce poisson j'éspère? »

Les yeux de complainte sd'était enfoncé dans ceux de ce chat et elle affichait comme à son habitude un regard assez froid. Mais elle n'y pouvait rien ce regard n'était qu'une facade...

« Tout vas bien ? »

Elle essaya d'afficher un rictus semblable à une tête heureuse mais elle n'y arrivait pas, elle devait faire une tête des plus effrayantes elle agita ses oreilles les tournant vers l'eau histoire de pouvoir entendre le moindre mouvement de l'onde réfléchissante. Elle arrêtat un instant de penser et songea à beaucoup de choses recalant son poid en arrière et elle se laissa légérement glisser sur ses pattes antérieur, et elle s'étira tranquillement tandis qu'elle attendait la réponse à ses questions. Questions qui n'avait d'ailleurs aucun sens à son gout, mais les relations avec les autres c'est une peu compliqué pour elle encore.

« Je m'appelle Coeur de Loup  »

Une pâle émotion d'amusement se dessina sur les traits de la chatte, elle semblait vraiment l'avoir énervé bien que ce n'était pas son but premier mais elle avait du mal à transmettre d'autres émotions que la haine la froideur ou encore la peur et tout un tas de sentiments mauvais que personne n'aimait. Par dessus ça elle remarque aussi qu'il ne semblait pas avoir entendu sa deuxième phrase sûrement trop plongé dans ses pensées. Complainte fit un pas en arrière avant de replonger son regard vers l'eau comme si elle était absorber vers cette onde sans mouvement car elle avait dût avoir le seul poisson.

Désolé de m'être emporté.

Elle le fixa à cette phrase, il avait dût avoir pitié d'elle mais pourquoi? Ca facade se serait brisée en regardant l'eau? Non impossible elle la perfectionnait dpeuis trop longtemps. Alors pourquoi? Elle fixa dans le egard du jeune matou une explication, mais elle ne savait lire les émotions dans les yeux des chats elle ne compris donc pas ce qu'il ressentit mais elle ne savait pas non plus si par ses excuse il se mettait mal ou autre. Complainte ne savait plus ou donner de la tête et essaya donc de rassembler le peu de ses idées restantes de façons à pouvoir formuler une sorte de phrase mais c'était asser compliqué, il fallait relancer la discution, mais que répondre. " Tu as eu pitié de moi? " non trop violent, autre chose peut être? La chatte était totalement perdue ce n'était pas le genre de truc qu'elle fesait essayer de dire pardon. D'être sympas quoi plus généralement.

« Euh, tu t'excuse par pitié ou ...? »
Sa phrase se termina plate, fade, comme ci elle ne voyait cela que comme une obligation. Complainte remua sa tête et sa queue très génée de cette phrase pour lequel elle avait plutot rélféchie mais, qui au final n'était pas celle qu'elle voulait dire. Mais justement, elle ne voulait plus parler, elle voulait se terrer sous le sol comme cequ'elle fait quand elle enterre ses proies. Elle soupira bel et bien cette fois.

Complainte avait peur, elle éspérait ne pas l'avoir offenser ou quelque d'autre dans ce style là. Elle regardait dans le vide, tel quelqu'un de fuyant qui n'osait pas se rapprocher des autres. C'était d'ailleur bien son cas à la minette, elle avait souvent peur, et souvent, elle n'osait pas s'approcher des autres, mais là n'était pas la question car brusquement le jeune chat en face d'elle reprit la parole

« Tu es ma camarade, je ne suis pas sensé m'emporter contre ma camarade. »

Alors comme ça il considérait Complainte comme ça camarade ? Que dire à celà? Complainte était tout simplement perdue de nouveau. Ce chat était au final peut être plus gentils que les autres.

« Viens pêcher avec moi, il faut rapporter de la nourriture au clan. »
Complainte n'avait pas trop le choix. Elle devait servir son clan car la loyauté et quelque chose de très important pour elle alors quitte à le servir pourquoi ne pas lui amener a manger ?
Elle  regarda le chat s'étirer, puis se lever et avancer en aval de la rivière cherchant sûrement du poisson. il s'arrêta net devant un bout de la rivière, et Complainte resdressa ses oreilles, sans pour autant faire aucun mouvement. Elle était comme elle était à longueur de journée attentive, mais entièrement perdue. Complainte plissa les yeux en fixant l'eau histoire de voir au moins si il y a avait du poissons, et là, elle vit des ombres bouger dans l'eau. Elle agita ses oreilles et rapporta son attention sur le jeune chat. Il semblait réellement joyeux d'avoir trouver des poissons. Elle poussa alors une sorte de soupir commença à mettre de l'appuis sur ses pattes pour se relever

« C'est génial ! Ils sont tour réunis là ! »

Et d'un mouvement en avant en avant Complainte Mélodieuse fut de nouveau sur ses quatres pattes, et s'avança d'un pas lent vers Le jeune matou. En se rapprochant elle vit en évidence les poissons dans l'eau. Mais brusquement elle vit le chat au yeux vert prendre deux batons dans sa geule et les disposait dans l'eau de façons à faire une sorte de barrage. Complainte mélodieuse n'avait absoluement pas compris pourquoi. De toute façons ça saute les poisson non? Alors pourquoi ne pas tout simplement les attraper au vol?

« Comme ça, ils sont bloqués dans cette petite marre, et ils ne vont pas s'enfuir ! On a qu'à les attraper un par un ! »

Complainte lança un regard vers l'eau, les poissons était toujours là et tournait en rond entre les blockus. La chatte se baissa habilement et se rapprocha de l'eau sans pour autant que son ombre si projette.

« J'en attrape deux tu en attrape deux? » demanda la chatte hazardeuse.

En vérité, elle n'allait pas vraiment lui laisser le choix, car elle glissa habilement une de ses pattes dans l'eau, fit sortir un poisson, et tandis qu'il essayais vénement d'échaper au monstre de " la patte " elle enfonça ses crocs dans ses écailles remue un instant, et le voilà mort. Elle déposa sur la rive de la rivière et lança un coup d'oeil au chat à son côté attendant qu'il ne prenne son poisson

« on rentre ? »

Complainte Mélodieuse releva le m museau et posa ses yeux sur le mâle gris. Alors comme ca il voulait rentrer ? Mais il n'y a jamais rien à faire au camps. Ca ne sert strictement à rien...
Complainte hesita... si elle disait non, peut être perdrait-elle une sorte d'ami mais si elle disait oui, les deux chats allaient s'ennuyer indéfiniment assi contre le sol réchauffé par le doux soleil de la saison des feuilles vertes. Peut être y avait-il une autre solution, peut être pourrait-ils faire autre chose... Complainte sombra donc dans ses pensées cherchant un moyen d'échapper à l'ennui. Des pensées qui tournes en boucle sans s'arrêter un peu comme une répétition infinie qui peut être stoppé par la personne qui pense. Complainte avait trouvé. Enfin. Elle hésitant quelques instants à faire part de sa proposition au matou gris. Elle se contenta d'agiter ses oreilles. Et cette fois, son attention ne se porta pas sur le beau ciel azur, ou aujourd'hui aucun nuage ne pouvait être vu. Non, elle préféra aussi se détacher du sol, chose qu'elle regarde souvent quand sa carapace est en activité. Mais aujourd'hui et pour la première fois de son existence, Complainte avait relâcher son bouclier.pour la première fois, elle était détendue, plus personne ne l'a jugeait car elle était loin des yeux du clan. Elle était loin et elle ne voulait pas n aucun cas se rapprocher. Complainte cherchait donc dans quel ton elle devait lui annoncer qu'elle ne voulait pas rentrer au camp. Un ton mielleux par exemple ? Non. Doux ? Non! Et la, la parfaite tonalité fit trouvée, et si elle le disait gentillement ? Une petite hésitation envahit le cœur de la chatte, elle n'avait jamais usé de ce ton, même pas sous sa façade. Allait-elle bien le faire ?

« Non, pas la peine de rentrer, j'ai une autre idée, et si nous allions nous balader ? »

Oh lala, c'était tellement raté, tellement... tellement naze. Elle poussa une sorte de soupir en calmant sa tête légèrement sur le côté. Elle avait peur de la réponse du matou. Et si il disait non ? Que faire ? Complainte n'avait pas pensé à un plan B.
Non, c'était fini il allait dire non, rentrer au camp et la plantée la, comme une idiote. Que faire, que faire. Complainte était réellement perdue. Voilà ce qul'amène la gentillesse... elle se tourna légèrement face au vent pour retirer les poils qu'elle avait devant les yeux et qui la genaient pour voir la réaction du matou.

Complainte fut surprise que le matou accepté sa proposition. Celle la même que Complainte avait trouvée extrêmement nulle. Voir pire même.
Et c'est pourquoi le guerrier gris ouvrit la marche en faisant du bout du museau geste indicateur de la direction. Et complainte n'hésita pas une seconde à le suivre. En fait, quand on brise sa carapace, on découvre une nouvelle complainte. Une complainte beaucoup plus douce, beaucoup plus enjouée. Et la chatte aimait cette sensation. Pour la première fois depuis longtemps elle sentit au plus profond de son coeur une sensation de chaleur. Et de joie. Son coeur était plus léger.
Complainte affichage un sourire, pour répondre à celui qu'en ce moment même affichait le matou gris. La faille qu'il avait faite dans sa carapace était énorme, et au final il ne lui aura fallut d'un rien pour arriver à ce stade la. La jeune guerrière se sentir ridicule au court dd'un bref instant, mais cette impression de stoppa nettement, quand elle aperçus en coins l'expression qu'affichait coeur de Loup. Il semblait avoir perdu cette joie et il semblait surtout se souvenir de choses durent. Et en une seconde il se laissa tomber sur le sol constitué d'herbe et de terre dure. Complainte s'assit à son côté et tourna sa tete. Elle aperçu enfin se qui avait probablement rendu Coeur de Loup aussi pensif. Il y avait devant eux la ville de bipède. Dont s'élevait une douce odeur de choses que Complainte ne connaissait pas. La ville de bipède ne change jamais.cc'est toujours de gros rectangles blancs, pleins d'odeurs. Et beaucoup de bruit. Habituellement Complainte n'allait pas vers la ville elle apprécie le calme et la c'est tout le contraire. Et puis, derrière ma ville de bipède, une autre forêt encore inexploré. Un futur territoire peut être. Du moins, si un jour les clans se déplacent.

« Est-ce qu'il t'es déjà arrivé de penser à quitter ton clan ? »

Pardon ? Complainte avait écrit mal comprendre. Elle savait très bien que Coeur de Loup était loyal envers son clan et ses membres alors pourquoi cette question ? Complainte ne se demanda que peu de temps pourquoi elle ne voulait pas savoir de toute façon. Peut être avait-il envie de voir un peu du paysage. Cela m'étonnerait pas la chatte. Et c'est d'ailleurs probablement la raison. Complainte aussi aimerait voir du paysage et se balader r un peu ou elle le veuille sans que personne ne lui dise qu'elle n'est pas du bon côté de la frontière ou autre chose de ce style. Mais bon, elle ne le ferait sans doute jamais. Et elle ne pourrait pas de toute manière.

« Moi j'ai toujours voulut explorer les terres alentours, mais je n'en ai jamais eu l'occasion. »