Un matin au clan du Tonnerre, Forêt se réveille plutôt mal en point. Son frère l’avait réveillé au courent de la nuit pour dormir sur lui. Forêt Lunaire n’avait pas aimé se faire passer pour un paillasson pour chat et l’avait poussé pour qui arrêt de lui compresser son ventre. Maintenant que le petit matin était venu, il était temps de chasser ou de patrouiller. D’un mouvement calme et posé, le chat bicolore gris et blanc se leva et sortit de la tanière des guerriers. Sortit, il s’étira chaque muscles de son corps svelte. Négligent  sa toilette pour le moment, il regardait donc le contour du clan en scrutant sur place, les envions. Effectivement les Chats du clan Tonnerre on une méthode plus différente, de chasser mais il avoue que ça lui manque de pêcher avec les siens. Mais la nature n’était point charitable avec le clan Rivière et doivent attendre que la rivière baisse. Se que Forêt se tue à se dire pour mettre en patience son inquiétude.   Le jour n’était pas encor levé, enfin il marquait un bleu violacé par le rouge de rayon de soleil. Le froid approchait à grand pas.
Il se rappelait dans une excursion, il avait des lunes, dans le temps qu’il était apprenti, il avait était dans la zone des Bipèdes flairant un gibier dans cette Zone. Il avait faussé Compagnie à son mentor et c’était caché dans un buisson. C’était ses débuts à l’époque et le spectacle était plutôt étrange. Les bipède faisait des cérémonies mettant des peaux d’animaux sur eu transportant une citrouille remplie de trucs enveloppé. Les donnaient-ils en offrande à leur guide spirituel ou leur clan des Étoiles bien à eux?
 
Peu importe, ces souvenir ne faisait que revenir dans ses pensé en souvenir du même froids qui faisait se jour là. Il avança donc vers la sortit du clan d’un aire calme et non chaland comme rien ne pressait car au pied du chemin, deux chats, comme prévue, était venue le rejoindre. Il avait deviné un peu la scène car il savait que le clan Tonnerre ne laisserait pas le clan Rivière sans guide dans les chasses. Forêt se retourna donc vers deux félins, une rouquine et un chat noir. Qu’il c’était prêté compagnie pour la chasse et se servir de guide à Forêt Lunaire sans doute. Forêt c’était retourné de son air calme et curieux vers les deux félins. Il ne parlait pas trop car il était dans leurs territoires alors, il ne posa aucunes questions pour évité de leur froisser les poiles.

- Euh, bonjour.

Cette voix résonna en écho dans ma tête comme un lointain songe. Au départ, je croyais qu'il s'agissait d'Éclat de Rose, mais lorsque celle-ci poursuivis, sa voix me sembla si étrange que je ne put m'empêcher d'ouvrir les yeux. C'était belle et bien une rouquine qui se tenais devant moi, mais pas celle si chère à mon cœur. Tout groggy je tentais de garder les paupières ouvertes afin d'écouter le moindre des paroles de la guerrière.

- Dis, je dois aller chasser avec un chat du Clan de la Rivière. Tu veux bien m'accompagner? Je n'ai pas envie d'y aller seule, en plus, je ne le connais pas du tout.

Quoi? Depuis quand demandait-elle mon aide? Elle qui avait l'habitude de ramener des inconnus au clan, voilà qu'elle avait peur d'une tête de poisson du Clan de la Rivière. Tempête de Sable voulait surement juste m'empêcher de dormir, tout pour me mettre de mauvais poil, comme à son habitude. Je m'étirai donc en grommelant comme si j’espérais la décourager de m'attendre, mais elle tint bon.[/color] Je la suivit à l'extérieur en titubant, puis je m'arrêtai à l'extérieur de la tanière pour ma passer rapidement une patte sur la tête et le museau. Pas question pour que je passe pour un chat incapable de faire ma toilette devant un guerrier du Clan de la Rivière. Une fois fini, j'emboitai le pas de la guerrière rousse vers le tunnel d'ajonc où disparaissait déjà un guerrier inconnu au pelage gris tigré et blanc.

- Enchanté, je me nomme Tempête de Sable, et voici Nocturne des Océans. Nous sommes chargé de t'accompagner pour une partie de chasse. Quel est ton nom? 

Et voilà qu'elle me vole les mots de la bouche! Suis-je condamné à être réduit au silence pour le reste de la journée? Sans que je m'en rende compte, mes poils se hérissèrent sur ma nuque et un grondement sourd résonna dans ma gorge. Le matou gris perle me foudroya du regard comme s'il cherchait à me faire sentir coupable, mais je détournai le regard. Mmm! Je me fou de ce qu'il peut penser, ce n'étais sur lui que je grognais de toute façon.

- Je me nomme Forêt Lunaire.

Comme si je m'y intéressait! Sans attendre, je m'éloignai du camp en espérant vainement qu'ils ne me suivent pas. J'avais été réveillé trop tôt à mon goût et voilà que je devais me coltiner un guerrier stupide qui empeste le poisson en plus de Tempête de Sable. Cette journée s'annonçait vraiment mal. La pire journée de toute ma vie probablement.

Foret Lunaire se présenta, à sa coutume habituelle. Il put comprendre que le chat noir se nommait Nocturne des Océan et la rouquine, plus social que Nocturne, se nommait Tempête des Sables. Il se souvenait qu’elle était souvent avec un chat de couleur crème et un masque grisé ou brun. Difficile de faire un différance car Foret Voyait de cet angle. En détournant ce sujet, inutile au but premier de Foret Lunaire et aux deux membres du clan du Tonnerre, Forêt remarqua l’altitude déplaisante de ce chat couleur nuit et yeux océaniques. Il le regarde d’un air plutôt haineux et manqua d’intérêt. Mais qu’elle tique l’avait piqué celui là? S’il il aurait aimé rester au clan, qu’il reste, Forêt n’avait pas besoin d’une bombe à retardement. Tempête aurait du choisir un autre collègue comme d’autres, pas ce chat de malheur! Bref! Espérons qu’il ne face pas trop le «Je m’as-tu vus». Forêt Regarda donc la chef du peloton, selon Forêt Lunaire, en demandant s’ils peuvent y aller et passer aux Quatre chênes car il avait promis à son meilleur amis, Plumes Sombres, le guérisseur du clan de la Rivières de lui rapporter quelques plantes qui lui manquait. Ils partirent dans le chantier du Tonnerre, qui menait dans la forêt. Ils coursèrent pendant de long moment en passant les chemins les plus rapides que les deux Tonnerres connaissaient. Il arriva donc  enfin au chemin des quatre chênes, qui était prévus.  Foret Était plutôt content mais son apaisement fut baissé car une odeur de Venteux venait lui chatouiller les moustaches. Ses poiles se hérissa comme un hérisson du coup, mais se calma car il jugea qui était inutile de se pomper inutilement. N’écoutant que lui-même il avança furtivement vers l’odeur en se cachant derrière un buisson il observait de l’écartement des feuilles un chat aux Écaille de tortues qui était avec un enfant, un chaton pour être plus exacte. Il se demanda s’il était plus préférable de se montrer ou attendre qu’il retourne à leur camp.
 
-Je suis désolé de vous décevoir mais, je crois qu’un venteux Écailles de tortues est là avant nous. Chuchota-t-il aux autres, attendant les ordre de Tempête de Sables.
 
Il aurait bien aimai le faire déguerpir mais Forêt est un chat plutôt diplomatique et aurait aimé mieux que les autres clans sache l’alliance des Tonnerre et Rivière. Il alla se tourner vers les deux Tonnerre mais, leur changement de personnalité se mit à jour. Comme s’il allait changer avec tout se qu’il avais dit.

[Le reste, à vous de dicter votre comment faire ou votre personnalités.]

[Il faudrait que Petite Mésange poste...]

Je n’avais pas l’intention de prendre la tête de cette patrouille drôlement constitué, mais à en croire la réaction du guerrier tigré, il pensait réellement que je l’étais. Il se mit en route juste derrière moi, mais vite je me rendis compte que je ne savais pas du tout où nous étions supposé aller, ni si nous avions vraiment une destination prédéfinis. Je m’arrêtai donc pour laisser Tempête de Sable prendre la tête. Ce qu’elle fit sans perdre de temps avant de se diriger vers les quatre chênes. Oh misère! Avait-elle perdu la tête ou elle oubliait le fait que nous trimbalions un guerrier adverse avec nous? Surement pas, car elle reniflait la moindre parcelle de terre et de végétation sur le chemin. Son angoisse était palpable et plus odorante encore que les fougères que nous faisions craquer sur notre passage. Soudain, la rouquine s’arrêta à l’orée de la clairière. L’odeur du Clan du Vent me parvint aux narines. Galère! Ils allaient découvrir l’acte stupide de notre meneuse et nous déclarer la guerre sans plus attendre.

- Je suis désolé de vous décevoir, mais un guerrier écaille du Clan du Vent est arrivé avant nous. Chuchota le guerrier gris.

- Ah tu crois!? Feulai-je de rage en rabrouant le matou d’un coup de patte sur la nuque. Et tu crois aussi que ne l’as pas remarqué!


-Nocturne! Siffla la rouquine entre ses moustaches. Tais-toi! Tu vas alerter toute la forêt.


À ces mots, je reportai mon attention sur le guerrier écaille qui trônait toujours dans la clairière. Un petit chaton gris-argenté l’accompagnait. Le mâle regardait dans notre direction sans bouger. Ses yeux verts plongés dans le vide comme s’il cherchait à repérer nos fourrures sous l’épais feuillage. Il ne nous restait plus qu’à attendre qu’il s’en aille avant d’accomplir notre mission. Je m’assois alors, commençant à faire ma toilette amplement, vu que je n’en avais pas encore eut le temps, quand soudain j’eus une idée.

- Pourquoi ne pas aller chasser en attendant? Avec toutes ces bouches à nourrir, la réserve est constamment vide.