Réveiller pas les coups de pattes de Petite Euca, je m'étais extirper de la pouponnière avec douceur, glissant à l'oreille d'Envol des Nuits :

- Si Petite Eucalyptus se réveille et me demande dit lui que je suis partis chasser s'il te plait ? J'en ai réellement besoin !

Elle m'avais regarder en rigolant prouvant bien qu'elle me comprenais et que la prochaine fois se serais son tour. Je m'étais donc glisser dehors m'étirant alors avec agilité et grâce. Je sortis en dehors du camps, passant par le buisson de ronce qui était notre entrée. Je me mis à courir évitant et sautant a travers la forêt sachant pertinemment que je devrais rester dans la pouponnière à ma rentré au camp.
Que c'est bon de sortir de cette tanière ! De sentir le vent dan ses moustaches à nouveau !
Arrivée près du Chemin du Tonnerre, je ralentis en essayant d'écouter avec attention le grondement des monstres. Après avoir laissé passer plusieurs monstres, je traversais la surface noire avec rapidité sachant que ma vie en dépendait !
Arriver près des Quatre Chênes, je me glissais jusqu'à un massif de rochers. Je sautais de rochers en rochers quand tout à coups, distraite par un bruit, je me coupais les coussinets qui me fis pousser un cri :

- AÏE !

Boitant et saignant de la patte droite, je me mis sur une pierre lisse toute proche sachant que la douleur ne me permettrait pas de rentrée chez moi. Mais se que je ne savais pas c'est que j’étais en mauvaise posture, en très mauvaise posture... Car ce qui venait de me distraire n'était autre qu'un guerrier du Clan du Vent du nom de Nuit d'Azur.

j'ouvris les yeux doucement et me leva péniblement, dehors le soleil m'aveugla, je cligna des yeux pour m’habituer et me dirigea vers la pile de gibier. en dégustant mon lapin j'observais Cœur Brûlé former les patrouilles, il croisa mon regard et se détourna. je sortit du camp et le vent me fouetta de pleins fouet il y avait un grand soleil mais aussi beaucoup de vent au fur et a mesure que je me dirigeais vers la plaine rocailleuse moins il y avait du vent. puis soudain je sentit une odeur familière, c'était la douce odeur de Pelage du Vent je me retourna et la chercha des yeux sans jamais la trouver, l'odeur disparus petit a petit.sa me déprimais qu'elle ne soit plus a mes cotés je serais constamment triste si mes petits n'étais pas là. un cri me tira de mes pensées :

-AÏE

sur une grosse pierre lisse une guerrière du clan de l'ombre était allonger. sa patte avant saignais, elle avait surement du se couper il y avait beaucoup de petites pierres pointus. je m'approcha et elle se retourna :

-tu t'es blesser apparemment.

elle fit oui de la tête je continua sans la laisser parler:

-je suis pas douer pour soigner les blessure et je veux pas aggraver ton cas mais je peux peut être t'aider

je m'approcha de sa patte blesser et elle me dit:

Nuit d'Azur s'approche de moi je le sens atterrir avec agilité à mes cotés , je me retourne l'air de rien :
- Tu t'es blesser apparemment.
Je le regardais dans les yeux,
Non tu crois ? Je pensais que je me réchauffais les côtelettes aux soleil sur un territoire ennemi et puis d'un coup ma patte s'est mise à saigner. Tu as remarquer que j'étais blesser ? Non mais quel bon observateur tu fais...  
ma voix ironique et provocatrice venait de sortir cette phrase dans ma tête, mais je préférais lui répondre oui de la tête,
Ce n'est pas le moment de provoquer ce guerrier ennemi surtout que je suis sur son territoire...
puis il continua à parler, sans me laisser le temps d'argumenté :
- Je suis pas douer pour soigner les blessure et je ne veux pas aggraver ton cas mais je peux peut être t'aider ?
Puis il s'approcha de ma patte ensanglantée pour la renifler. C'est alors que je sortis cette phrase :
- Tu ne peux pas faire pire que d'être venu !
Il me regarda d'abord choquer que je lui ai répondu aussi violemment puis la colère remplaça sa surprise. Je repris alors très vite :
Bon bon t’énerve pas... Je ne veux juste pas que tu es des problèmes parce que tu veux m'aider...  
L'air venait de m'ébouriffer les poils, il se glissa entre mes coussinets ce qui fit que la douleur me lança, je gémis. Je lève mes yeux vers lui comme pur le supplier :
- La douleur est immense, je crois qu'il y a un bout de pierre coincer dans mes coussinets... Pourrais tu aller me chercher une boule de mousse emplis d'eau ?
Encore en colère, il répondit mauvais...

Pétale Bleue me regarda longuement, comme si elle me prenait pour un imbécile. après mettre approcher d'elle elle me miaula d'un ton pas très sympathique.

- Tu ne peux pas faire pire que d'être venu !

je leva les yeux vers elle choquer et énerver. c'est la meilleur celle là! c'est elle qui est sur mon territoire, tous ça ne serait pas arriver si elle ne c'était pas pointée ici me dis-je intérieurement. je sentais un grondement monter dans ma gorge.

-Bon bon t’énerve pas... Je ne veux juste pas que tu es des problèmes parce que tu veux m'aider...

s'empressa de dire la guerrière, le vent vint ébouriffer nos pelages et je me glissa entre mes coussinets ce qui fit qu'elle se mit a gémir de douleur. elle me regarda d'un air de supplice.

- La douleur est immense, je crois qu'il y a un bout de pierre coincer dans mes coussinets... Pourrais tu aller me chercher une boule de mousse emplis d'eau ?

je suis sur que sous ma fourrure j'étais rouge de colère. je la regarde longuement et lui répond mauvais.

-et pourquoi j'irais t'en chercher?

elle continuais a me regarder, ça patte la faisant souffrir je poussa un long soupir et lui miaula.

-bon O.K j’y vais c'est bon

je partis d'abord tranquillement puis me mis a trottiner, en direction des bosquets touffus une fois arriver là bas je m'activa et trouva rapidement un carré de mousse j'en prie un petit partie, avant de chercher une petite flaque d'eau. après une bonne dizaine de marche a tourner en rond je fini par trouver un petit flaque, j'y trempa la boule de mousse et repartit en courant vers la plaine rocailleuse, arriver là bas je la déposa a coté de Pétale Bleue qui me regarda et me miaula avec gentillesse.

-

- Et pourquoi j'irais t'en chercher?

Je le regarde alors intensément
Que suis je bête de l'avoir provoquer comme ça... N'ai je donc pas de cervelle pour énerver ainsi un guerrier ennemi..
Alors que j'étais en train de me haïr intérieurement, j’entends un soupir m'arriver désagréable dans l'oreille. Je la remue comme irrité, c’est alors qu'il me répond :

-Bon O.K j’y vais c'est bon

J’agrandis mes yeux ébahis qu'il m'est répondu ceci. Il partis lentement puis se mis à trottiner et lorsqu'il dépassa un bosquet je le perdis de vue. Mes yeux le cherchaient un moment puis je me remis à nettoyer ma plaie qui saignais abondamment. J'entendis au loin le bruissement des fougères qui craquais sous le poids d'un animal et c'est seulement lorsqu'il fut de retour que je fus soulager. Il s'avance avec une boule de mousse imbiber d'eau et me la dépose à mes pattes. Je lève les yeux et je croise son regard. Je vois qu'il est encore en colère pour tout à l'heure et la culpabilité me cueille. Alors je décide de lui murmurer des remerciements... et malgrès tout des excuses :

- Merci pour cette mousse elle me sera bien utile....

Je laisse malgré tout du temps pour réfléchir à la formulation de mes excuses :

-... Je suis désoler pour tout à l'heure. Je t'ai provoquer alors qu'il n'y avais pas lieu d'être. Et puis je ne pensais pas que tu allais m'aider....

Je baisse les yeux vers la boule de mousse et la prend dans la bouche. Je la presse contre mes coussinets... J’évite de croiser son regard, j'ai soudainement le besoin de m’éloigner d'ici le plus vite possible, de m'être le plus de distance rentre lui et moi... Lorsqu'il se penche pour renifler ce que je faisais, je tremble... Je sens son regard étonner
"Non... Il l'a sentis..."
il m'adresse la parole :

je tendis le cou regardant de plus près ce que faisait la guerrière.cette odeur que l'on ne sent pas tout le temps serais-ce de la peur? j'étais bien étonné.

-hum...aurait-tu peur?

Pétale Bleue ne dit rien.je soupire alors, et reprend sur un ton plus doux.

écoute, je ne voulais pas te faire peur.je suis incapable de faire peur en le voulant a qui que ce sois je suis peut être trop gentil mais c'est comme ça

la jeune femelle ne semble pas tout a fait rassuré mais l'odeur de sa peur se dissipe peu a peu pourtant elle reste sur ses gardes. alors, qu'elle termine avec la boule de mousse pour désinfecté sa plaie, elle tente de se lever. d'un léger coup d'épaule je l'aide a se relever.

-pense a aller voir la guérisseuse en rentrant dans ton camp elle s'occupera mieux de ta plaie, mieux vaut ne pas prendre de risque

Pétale Bleue acquisse d'un signe de la tête. le jeune femelle s’apprêtait a repartir vers la frontière quand je me mit a coté d'elle et l'épaula elle tourna la tête comme surprise et je lui fit un sourire. elle me demanda du tact au tact.

-

HRP:

-hum...aurait-tu peur?

Je le regarde étonner puis le regarde avec crainte.
Il a mal interpréter mon tremblement... Ouf je suis sauvée ! Je dois lui faire croire que 'ai peur de lui !
Je l'entends soupirer et me parler ensuite avec une voix douce :

-Écoute, je ne voulais pas te faire peur. Je suis incapable de faire peur en le voulant à qui que ce sois, je suis peut être trop gentil mais c'est comme ça.

Je le regarde encore avec méfiance et fais semblant de me détendre petit à petit pour en fin de compte rester tendue pour qu'il croie que je sois sur mes gardes. Je baisse les yeux vers ma plaie et me remets à la désinfecter. Pendant que je prend soin de mes coussinets je le vois du coin de l’œil  s'assoir. Lorsque je termine enfin de me laver le coussinet je me lève lentement et arriver debout je sens que je perd l'équilibre. C'est alors que Nuit d'Azur met son épaule à ma hauteur, me retenant de tomber. Il me donne alors un conseil que de toute manière j'allais faire :

- Pense à aller voir la guérisseuse en rentrant dans ton camp elle s'occupera mieux de ta plaie, mieux vaut ne pas prendre de risque !

Je lui réponds quand même d'un signe de tête que je suis d'accord. Je commence à partir vers mon territoire pensant que j'allais être seule mais j'entends des pas venir vers moi et je sens une épaule me soutenir. Je tourne alors la tête le regard dans les yeux... Je commence à me noyer dans son regard bleu marin lorsque grâce à un mouvement d'oreilles de sa part je reprend mes esprits. Il me souris gentiment, je lui pose alors une question qui viens de m'échapper :

- As tu une compagne ? Tu as des petits ?

Son sourire commence à tomber, il me regarde choquer par la question... Il commence à reculer comme pour mettre de plus en plus d'espace entre lui et moi :

- Euh... ça va ? Excuse moi si ma question t'as choquer tu sais tu as le droit de ne pas répondre, je ne te force en rien !

Il regarde en face de lui comme ci j'étais pas là et recule toujours plus... Je commence à faire des pas vers lui pour le réconforter. Je sens que ma question viens de le déboussoler, on pourrais croire qu'il revis une scène de sa vie... C'est alors que je remarque qu'il n'est plus qu'à deux longueur de queue du Chemin du Tonnerre. Sans prendre conscience de mes actes je lui saute dessus et ce qui nous envoie valser dans les buissons à l'opposer de son ancienne position. Je me retrouve alors sur lui mes deux pattes avant de chaque cotés de sa tête et mes pattes arrières sur son ventre. Un monstre passe alors deux secondes plus tard. Je le regarde pleine de haine :

- Tu ne peux pas faire attention cervelle de lapin ? Ça va je me suis excuser pas la peine d'être choquer comme ça et de faire n'importe quoi !

Il me regarde alors de nouveau reprenant ses esprits, puis regarde autour de lui et remarque dans quel position nous sommes tout les deux. Il me regarde amuser alors que je descend mes pattes et le laisse se relever. Je n'ose pas le regarder trop gêner de la position dans lequel il nous a trouvé....

j'épaulais Pétale Bleue au moment au celle ci me demanda si j'avais une compagne et des petits. la vision de la mort de Pelage du Vent aux quatre chênes revint me hanter. je ne voyais plus que ça, j'entendais encore les oiseaux chanter et...et au loin les monstres qui s'approchais de plus en plus. mes pattes refusaient de s'arrêter et le hurlement des monstres qui crachaient des torrents de fumée noire ne cessais de se rapprocher. j'entendais la guerrière ennemie s'excuser. un poids me tomba soudain dessus et la vision disparue. un monstre passa juste après, je regarda Pétale Bleue: ses deux pattes avant étaient de chaque côtés de ma tête.

-Tu ne peux pas faire attention cervelle de lapin ? Ça va je me suis excuser pas la peine d'être choquer comme ça et de faire n'importe quoi ! me dit-elle toute la haine du monde dans les yeux

je secoua la tête et la regarda amuser et elle s'écarta me laissant me relever, elle détournais le regard certainement honteuse de la position dans laquelle nous nous étions retrouvez.

-hmm...je m'excuse tu n'y est pour rien. j'eu une compagne et j'ai une magnifique portée de quatre chatons malheureusement une de mes filles est décéder et un de mes deux fils a disparut.il me reste ma fille et mon fils tous deux apprentis et j'en suis fier. et toi as tu un compagnon et des petits?

j'enleva les quelques brindilles feuilles et morceaux de mousse rester coincer dans mon pelage beige et noir. Puis, je m'assis et attendit la réponse de la guerrière espérant qu'elle ne serais pas aussi dérouter que je l'avais été. son regard bleu était de marbre. elle ne laissais passer aucun sentiment. ni elle ni moi ne parle, elle semble réfléchir a se qu'elle va dire pour ne pas trop en dire. les monstres font un bruit assourdissant et l'odeur est infecte. je regarde la rivière noire ou passe en hurlant les énormes choses, elles passent a toutes allures; c'est impressionnant. je regarde de nouveau Pétale Bleue et elle prend la parole.

-

-Hmm...je m'excuse tu n'y est pour rien. J’eus une compagne et j'ai une magnifique portée de quatre chatons malheureusement une de mes filles est décéder et un de mes deux fils a disparut. Il me reste ma fille et mon fils tous deux apprentis et j'en suis fier. Et toi as tu un compagnon et des petits?

Il s'était levé et se mettais à enlever ce qu'il était bloquer dans sa fourrure. Sachant qu'il se préoccupais plus de sa fourrure que de moi j'entrepris de penser à ce que j'allais dire... Pour ne pas trop en dévoiler et ne pas remettre en question la loyauté de mon compagnon. Je revoyais la scène ou il m'aidait à sortir mes petits de mon ventre, le moment où on se regardais plein d'amour et où on venais de donner les petits nom à nos rejetons. Mon regard viens se glacer en pensant à la scène où l'amour de ma vie venais de s'élancer sur le Chemin du Tonnerre, un petit à la bouche... Jamais je ne pourrais les revoir...
J'entends les monstres passer, l'odeur me prend je secoue la tête pour reprendre mes esprit. Je plonge mon regard dans celui du chat en face de moi. Je miaule essayant de mesurer mon émotion:

-Oui j'avais un compagnon... J'avais des petits... Mais au jour d'aujourd'hui je n'ai plus rien... Ils sont tous partis... trop loin pour que je puisse les suivre !

Je le regarde, une larme m'échappe, je détourne le regard. Une deuxième tombe j'entends des pas qui se rapproche je n'ose pas relever le tête. Je sens une langue rapeuse me lécher l'oreille. Il me murmure une phrase dans l'oreille toute douceur exprimé.

Pétale Bleue m’expliqua qu'elle avait tout perdu, j'imagina sans problème ses petits et son compagnon. Mais elle au moins n'avait pas trahis son clan, en prenant un compagnon d'un autre clan. Il est dur pour une mère de perdre son ou ses petit(s), que se soit la première portée ou non. Un drôle de sentiments m'envahit d'un coup. Je ressentais la même peine et la même tristesse qu'elle j'avait  d'un côté subit les mêmes pertes mais certes pas de la même façon. Mais mes petits étaient la eux et j'en étais fier. La femelle ne put s'empêcher de laisser couler une larme couler le long de sa joue bicolore et la larme s'écrasa au sol suivit d'une ou deux autres. Je lui passa un rapide coup de langue sur le haut du crâne entre les deux oreilles pendant qu'elle baissait la tête au sol, certainement pour cacher ses larmes. Je comprenais parfaitement cette impression d'être abandonné par celui ou celle que l'on aime. je regarda un instant dans les yeux de Pétale Bleue alors qu'elle avait relever sa tête quelques instants plutôt. Une question me traversa alors l'esprit.

-Ton compagnon, était certainement de ton clan.Comment....Comment est-il décédé?

Ma question était certes indiscrète et je m'en voulu par la suite de l'avoir poser, mais elle était sortie spontanément.Je me pinça la lèvre a 'idée qu'elle ne veuille pas répondre. C'est vrai après tout, la réponse a ma question ne me regardaient pas. Alors que j'allais m'excuser d'avoir poser cette question qui ne me regardait pas Pétale Bleue prit la parole.

-

[a toi de voir si tu décide de répondre à la question ou non :) ]

-Ton compagnon, était certainement de ton clan.Comment....Comment est-il décédé?

Il se pince la lèvre ensuite comme gêné de m'avoir posée la question. Mes yeux vairons se posèrent sur lui. Il venait de prononcer la seule phrase qui pouvais me faire hérisser les poils. "Ton compagnon, était certainement de ton clan...", cette phrase tourne en boucle dans ma tête et ne cesse de ruminer le passé. Je ne suis même pas sur de pouvoir lui faire confiance mais de toute manière ma vie est foutue alors autant le ruiner encore plus... AU moment ou il allait prendre la parole pour certainement s'excuser d'avoir poser cette question je lui répondis d'une voix posée sans émotions dans la voix :

- D'où t'es venu l'idée que mon compagnon puisse venir de mon Clan ? Dois-t-on tous suivre la normalité ? Avons nous le droit d'enfreindre les droits sans nous faire avoir ? Et bien je te dis oui... Mon compagnon n'était autre que Plume de Hibou, votre camarade disparu...

Je ne sens aucun étonnement de la part de Nuit d'Azur. Je lève mes yeux et les plantes dans les siens. Je ne peux que apercevoir de la nostalgie et de la tristesse. Je décide de continuer sur ma lancée, sans lui laisser le temps de parler :

- Plume de Hibou, mon seul et unique grand amour venais de votre Clan oui... Il m'aidait a traverser le Chemin du Tonnerre avec nos petits. J'étais déjà de l'autre côté avec deux des miens lorsqu'il se lança sur la route pour aller chercher le dernier. Je ne sais pas ce qu'il lui ai arriver mais il ne prit même pas le temps d'écouter si un monstre arrivait il s'était déjà ruer sur la route le petit dans sa gueule. Mais malheureusement cette folie lui couta cher... Bien trop cher... Il succomba avec le chaton,fauché par le monstre. Je suis aller l’enterrer à la frontière de nos deux tribus... Là bas.    

Je lui indiquais le buisson derrière lequel j'avais enterrer mais deux amours perdus. Il m'avait écouter calmement sans rien laisser paraitre de ces émotions, et pourtant je m'attendais à le voir exploser de colère, mais rien ne vint... j'attendis son jugement !

[T'inquiète pas j'aime bien ;) ]

-D'où t'es venu l'idée que mon compagnon puisse venir de mon Clan ? Dois-t-on tous suivre la normalité ? Avons nous le droit d'enfreindre les droits sans nous faire avoir ? Et bien je te dis oui... Mon compagnon n'était autre que Plume de Hibou, votre camarade disparu...

sa voix n'exprimait rien. J'avais bien vu qu'elle avait hésiter a conter son histoire. Elle fut d'abord surprise de voir que je n'était pas choquer en apprenant que Plume de Hibou était son compagnon Comment pourrais-je être choquer alors que j'avais moi-même enfreins les règles? Elle planta son regard verrons dans le mien devenus nostalgique et triste. Pétale Bleue reprend alors rapidement son histoire.

-Plume de Hibou, mon seul et unique grand amour venais de votre Clan oui... Il m'aidait a traverser le Chemin du Tonnerre avec nos petits. J'étais déjà de l'autre côté avec deux des miens lorsqu'il se lança sur la route pour aller chercher le dernier. Je ne sais pas ce qu'il lui ai arriver mais il ne prit même pas le temps d'écouter si un monstre arrivait il s'était déjà ruer sur la route le petit dans sa gueule. Mais malheureusement cette folie lui coûta cher... Bien trop cher... Il succomba avec le chaton,fauché par le monstre. Je suis aller l’enterrer à la frontière de nos deux tribus... Là bas.

Elle me montre un buisson à quelques pas de nous. Là où elle avait enterré son rejeton et son compagnon. J'avais également enterré Pelage du Vent à la frontière du clan du Vent et celui du Tonnerre. Je n'étais pas en colère, simplement songeur. Ce n'était pas de sa faute si Plume de Hibou était mort.

-Je...je ne connaissais pas vraiment bien Plume de Hibou, mais je savais qu'il était généreux. Je ne suis pas en colère d'apprendre qu'il était ton compagnon, non bien loin de là. De toutes manières je ne peux pas être en colère, je ne me permettrais pas de juger une personne qui a prit pour compagne/compagnon un chat d'un autre clan.Je...je n'ais pas le droit d'être en colère donc...ça disons ça comme ça.

je lui fit un rapide sourire pour cacher ma gêne, j'avais eu du mal a m'exprimer. Ele prit la parole quelques instants après ma réponse.


[Tant mieux alors ;) ]

Après avoir tourner la tête vers le buisson que je lui montrais sa tête revint vers moi, je vis de l'hésitation dans ses yeux bleus. Il ouvrit la bouche au moment ou une bourrasque de vent se fis sentir :

-Je...je ne connaissais pas vraiment bien Plume de Hibou, mais je savais qu'il était généreux. Je ne suis pas en colère d'apprendre qu'il était ton compagnon, non bien loin de là. De toutes manières je ne peux pas être en colère, je ne me permettrais pas de juger une personne qui a prit pour compagne/compagnon un chat d'un autre clan. Je...je n’ai pas le droit d'être en colère donc...ça disons ça comme ça.

Il s'était repris sur certains mots et avait hésité sur d'autre ce qui me confirmais l'hésitation perçut quelques minutes auparavant. Après m'avoir appris tout ça, il m'avait souris gêné et fuyais à présent mon regard. Quelque chose dans son discours avait retenu mon attention...
"Je ne peux pas être en colère contre quelqu'un qui a choisis son compagnon dans un autre clan..." , cela veut dire qu'il me comprend ? Qu'il sais ce que je ressens ? Cela veut il dire...
Une idée me vint alors je la lui dis a haute voix :

- Tu viens de me dire que tu n'avais pas le droit... N'avais pas le droit ? Cela veut il dire que tu as toi aussi désobéis ? Ne suis je pas la seule a avoir fais ça ?

De toute évidence je savais très bien ce qu'il allais me répondre mais je voulais le lui entendre dire. Je voulais qu'il me le dise de sa voix pour que j'y crois. Du vent vient de nous atteindre je frissonne, ma blessure c'est rouverte et elle ressaigne, je la lèche avec douceur en attendant sa réponse déjà prévisible.

après quelques temps de réflexion Pétale Bleue déclare sur un ton franc.

-Tu viens de me dire que tu n'avais pas le droit... N'avais pas le droit ? Cela veut il dire que tu as toi aussi désobéis ? Ne suis je pas la seule a avoir fais ça ?

grillé mais de toutes manières, ce n'est pas comme si j'avais été discret, de toutes manières ce qui est fait est fait on ne peut rien n'y changer.

-bien vue! tu n'est pas seule. ma compagne faisait partie du clan du Tonnerre, elle se nommait Pelage du Vent. Je ne sais pas si tu la connais. Elle devait rejoindre mon clan après la naissance des petits mais elle...elle n'a pas tenue le coup. Elle est morte quelques instants a peine après la mise bas.

je baisse de nouveau la tête. Sa mort pèse sur ma conscience.

-j'ai l'impression que c'est de ma faute si elle est morte... Je m'arrête un instant.Si...si elle ne m'avais pas eu en compagnon elle serait encore en vie et elle serait heureuse avec un mâle de son clan avec des petits qui ne serait pas de clans-mêlés. Elle serait avec un mâle qui saurait lui apporter du bonheur, pas comme moi qui lui est juste apporter la mort.

Pétale Bleue semble surprise que je me sois confier a elle, mais je suis a peu près dans la même situation qu'elle et je sens que elle au moins elle me comprend elle sais se que c'est exactement de tout perdre. Je ne peux pas me retenir plus longtemps et les larmes défilent sur mes joues et tombent au sol. La guerrière ne dit rien a présent et le silence s'installe. Aucun monstre ne passe sur la longue rivière noire de béton. je sens le regard vairon de la femelle poser sur moi, je n'ose pas relever le regard. Elle prend sa respiration et commence a parler.

-

J'entends sa voix, d'abord assurée, me dire que j'ai raison, que lui aussi a perdu sa campagne... Mais ce qui retient le plus mon attention c'est le nom de cette chatte...
Pelage du Vent...
J'ai envie de le couper pour lui dire que je l'a connais... oh oui je l'ai connu. Mais il reprend trop vite pour me laisser le temps d'en placer une. La déclaration suivante est, elle, emplie de chagrin et de nostalgie, comme moi auparavant :

-J'ai l'impression que c'est de ma faute si elle est morte... Je m'arrête un instant. Si...si elle ne m'avais pas eu en compagnon elle serait encore en vie et elle serait heureuse avec un mâle de son clan avec des petits qui ne serait pas de clans-mêlés. Elle serait avec un mâle qui saurait lui apporter du bonheur, pas comme moi qui lui est juste apporter la mort.

Je suis surprise qu'il se confie ainsi à moi, puis me raisonne en pensant qu'il ne fait que me rendre l'appareil de ce que moi même je lui ai confier. J'arrête de ma lécher la patte pour relever les yeux vers lui et voir des gouttes d'eau tombées des siens. Je réfléchis à ce que je pourrais lui dire, le rassurer sur le faite qu'il n'est en rien responsable de sa mort... Je le sais, je la connaissais... Je prends alors une respiration et commence mon récit :

- Pelage du Vent était une chatte incroyablement belle et sensible. Je l'ai connus suite à une dispute entre un membre de mon clan et elle. On était aux Quatre Chênes, un lieu ou je ne tolérais pas les disputes. Ma camarade de Clan était très en colère et a sauté sur Pelage du Vent. Je me suis interposée, de cette action est née l'amitié qu'on eu l'une pour l'autre. Elle me parlait d'une voix douce et ferme, elle savait ce qu'elle voulait !

Je lui plante mes yeux dans les siens et appuie les mots que je prononce :

- Elle savait ce qu'elle voulait. Si elle t'a choisis c'est qu'elle te voulait plus que tout. Ne doute pas de l'amour qu'elle te portait car venant d'elle je sais que c'était plus que sincère... Je suis revenu plus d'une fois aux Quatre Chêne pour la revoir mais je ne l'ai jamais revue. Dans les premiers temps je m'étais dit qu'elle était occupé par ces devoirs de guerrière ce qui était tout à fait normale... Puis au fur et à mesure du temps, je pensais qu'elle m'avait oubliée je ne m'en suis jamais remise... Car c'était ma première vraie amie et ce fut d'ailleurs ma dernière...

Il me regardait avec des yeux d'hibou tellement t il n'en revenais pas de ce que je venais de lui annoncer. Je lui souris... peut être est il en train de comprendre qu'il n'est en aucun cas la raison de sa mort ! Il le faut, il se torture pour rien.
Je sens une sérénité m'envahir...
Je sais... Je sais ce qu'il lui ai arrivé, au nom du Clan des Étoilés, faite qu'elle repose en paix...