La nuit était tombée, un vent froid vantait fort a l’extérieur de la tanière du guerrier. Suivis de la pluie tombante qui ravage le sol en boue boueuse. Je frissonne à l’idée de mettre le nez dehors ou encore d’avoir toute ma fourrure trempée par la pluie. « Sale temps! Je déteste la pluie! » Couchés confortablement dans mon lit de mousse je pouvais voir certain chat qui était dehors a surveillé le camp. « Comment font-ils? Avec la pluie qui tombe sur eux! » Je tente tout de même d’oublier ce qui se passait à l’extérieur et décide de coucher ma tête pour dormir un peu. Le sommeil me rattrape vite et un rêve commençait à se former. Une plaine verdoyante s’était apparu avec toute sorte de proies qui gambadaient ici et là. Un soleil lumineux et chaleureux qui réchauffe ma fourrure. Je ronronne de bonheur et commence a exploré se lieux si fabuleux! Quand soudain le ciel devient de plus en plus sombre, la chaleur avait disparu avec les petits animaux de la forêt… « Que se passe-t-il?! Je me sans… si étrange et frigorifié » Mes pattes commençaient a tremblé et pour finir écrasé sur le sol incapable de bougé mes membres. Paniqué je tante de fuir, mais rien, impossible de bougé! Juste ma tête était encore capable de se tenir droit et je regarde autour de moi terrifié.

- À l’aide!!! Il y a quelqu’un?! Je ne peux plus bouger!!!

Au même instant, une silhouette avait fait son apparition sur le haut de la colline noir par la nuit. Un chat que je ne connaissais pas avait un chaton dans la gueule. Un chaton aux yeux verts…

- Hey!!! Vous là-bas! Pouvez-vous m’aider s’il vous plaît?!

Aucune réponse ne se fait entendre de sa part… Il ne fait que continuer son chemin vers un dépotoir de bipèdes sans se rendre compte de ma présence. Je finit même pas réalisé que les alentours avaient changé et les odeurs aussi. J’étais ou le charnier du territoire de l’ombre et je pouvais voir mieux se fameux chat de plus près. Il déposa dans un creux d’un arbre mort le chaton aux yeux vert, puis il partit le laissant sur son sort… Intrigué et complètement perdu dans tout cela. Mes membres se sont enfin libérés d’eux même et j’ai pu me relever rapidement de nouveau. Tout était devenu noir autour de moi sauve l’arbre mort qui était encore la… J’ai pu entendre des miaulements. « Ses pas possibles! Je dois rêver… » Les miaulements se faisaient de plus en plus fort et je décide donc d’avancer prudemment vers le creux de l’arbre. Quand j’entre ma tête, tout ce que je vois est le minuscule petit chaton tricolore aux yeux verts. Je m’avancer d’un peux plus près pour découvrir que s’était une femelle. Plus étrangement elle se mise à grandir et grandir, jusqu’à ce que, elle atteint la même hauteur que moi. On était nez à nez et d’un regard terrifié, je découvert que cette chatte devant était identique a moi! La même tache et les mêmes yeux. Paralysé je la regarde sans dire un mot quand celle-ci se prononce.

- … Vip..ère…

Je me réveille en hurlant dans la tanière et réveille quelque chat au tour de moi aussi. J’étais en sueur avec les oreilles couché terrifié par ce cauchemar.  « C’était si réel… J’ai pu même reconnaître une partie du territoire… » Je me secoue la tête un peux et m’excuse aux chats que j’avais réveillés. Je regarde vers la sortie de la tanière et vois que la pluie était toujours présente. Malgré cela je voulais prendre l’air pour me changer les idées. Je me lève endoloris sûrement tendu suite a tout cela et quitte la tanière pour allé sous la pluie battante. « Ce chat mystérieux et ce chaton qui me ressemblait… Comment je peux rêver a des choses comme sa! Je sais bien que Envol des Corbeaux m’avais trouvé la bas, mais… ses impossibles tout sa! » Je me secoue pour enlever l’eau de ma fourrure et avance vers la sortie du clan. « Je croix… que je devrais retourner là-bas. Je tente toujours d’éviter d’aller au charnier pour ne pas me rappeler que je ne suis pas du clan de l’ombre… Peux t’être que je vais avoir une réponse a se rêve? Ce qui serait ridicule! » Je n’avais rien à perdre d’allé voir et la nuit étais toujours la pour me protéger si j’avais un problème. Je quitte donc le camp pour me rendre au Charnier. Arrivé à destination, comme toujours il y a avais cette odeur horrible de bipède mélangé a toute sorte de choses inconnues. J’avance avec prudence à la recherche de l’arbre mort où on m’avait abandonné étant jeune. « Il ne doit plus être là avec le temps… Je ne sais vraiment pas pourquoi je me suis rendu ici juste pour cause d’un mauvais rêve! Je dois me reprendre! Ses ridicules… » Trempé jusqu’aux os je m’apprêtais à faire demi-tour.