Après une journée bien remplis, Je me levais de mon lit. Je me sentais lourde et mon maitre trouvait ça louche, il m’avait amené au vétérinaire. Un bipède, à la chemise Blanche m’avait examiné Pendant un certain temps que, dès qui touchait à mon ventre rond, je me sentais trop agressive et l’attaqua au visage. Je n’avais pas de besoin de savoir que j’étais enceinte car je savais déjà. Je restais sur la table, sans trop bouger, juste la queue qui fouettait l’air, en signe que j’étais agacé et je n’approuvais pas son geste. Il me regardait d’un coup d’œil et alla voir mon maitre qui avait été avertit que j’attendais des petits. La porte était ouverte et j’entendis se qu’ils disaient. Serte j’aurais du fuir de la cabine mais je restais car les mots me donnais la gerbe. J’avais entendus, de la par de mon maître que Sparta allait se faire opéré demain. Certes je devais fuir mais, je pensais à mon compagnon qu’il subirait l’opération. Je fis un feulement, agacé et c’est alors que mon bipède me prit. Nous retournons à la maison. Quand on était entré, je ne pris même pas la peine de me frotté sur la bipède qui vie avec mon maitre. J’allais directement voir Sparta qui dormait encor, ennuyer par cette vie de Domestique. Je le secouais et lui disais que se soir, nous partirons de chez les bipèdes et que je l’expliquais que nous ne sommes plus en sécurité. Il me regardait d’un air à se demandé se que je radotais mais il me faisait confiance. Le soir venu, Je le réveillais pour con fuit. En route je lui parlais.

-Je suis désolé que nous partons vite mais j’ai entendu, pas les bipède que tu allais être opéré, le coupeur te coupera pour que tu n’ais pas de petits. En plus, je ne veux pas me détacher de nos rejetons aussi. Les voir allez vivre dans d’autres familles, ça me briserait le cœur. Je suis désolé que tu aies à subir ça. Lui dis-je en essayant de ne pas pleurer.

Je le regardais, droit, dans les yeux. Je voulais qui comprenne que c’était pour notre bien à tousses. Même si je devais faire de grands sacrifice, je devait le faire, vivre dans la nature, m’appelait.

Dans notre chemin, Nous marchons loin de la civilisation humaine, donc, j'avais vécus ma naissance là bas et paris, sachant que les bipèdes pouvais être aussi cruels avec nous. Soudain,Sparta avait eu une idée. C’était de vivre dans un clan. Il avait raison, vivre dans un clan serait une idée et que nos petit ne seraient pas des être nuisibles mais aussi, j’espérais qu’il ne voterait point pour le clan de l’Ombre. Je me sentirais regardé et visé par les autres, depuis que Sparta vivait avec moi. Il me parlait alors, du clan du Vent, un clan que je n’avais jamais entendu parler ni, vu. Je pris un peu de réflexion avant de répondre et je le regardais avec un regard doux et vouloir lui faire confiance.


-D’acore! Je te suis. Lui dis-je.

Loin de notre résidence que nous vivions avant, Sparta et moi, nous avons passé au chemin du tonnerre, comme Sparta l’appelait, dans son jargon de clan, que je devrais m'y faire, un jour. Nous avions passé la forêt qui se montrait devant nous. Il faisait encor nuit. J’étais épuisé de cette marche, insurmontable, pour moi. C’était tout à fait normal, dans mon cas car je n’étais pas habituer et j’attendais des petits. Je ne savais pas mais je sentais une douleur atroce. J’avais mal au ventre et ma tête m’étourdissait. J’avais peur Pour mes petits et aussi pour moi. Arrivé dans une forêt, mes mots de ventre était partit mais je ne sentais plus mes pattes, pour cause de mon ventre qui était devenue lourds et la longue marche que nous avions fait. Je regardais Sparta, d’un air à lui supplier de s’arrêter car je devais me reposé. Nous faisons on lit pour pouvoir dormir mais je ne me doutait pas que j'allais être sur le choque, bientôt.


[ Désolé, j'ai du changé le contenu de la fin un tout petit peu. la suite, sera, dans la forêt du clan du vent.]