Manger ensemble ressert les liens - ft. Complainte Mélodieuse.

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Charmé par l'air du vent frais, j'étais sortit sur notre territoire, pensant n'y rester que quelques instants. L'air enfin chaud de la saison des feuilles vertes étaient bien plus plaisant si on le comparait à celui de la saison des neiges. Néanmoins, il était beaucoup trop lourd par rapport à la saison des feuilles nouvelles. Mais trouver l'équilibre des saisons étaient rares et on ne pouvait vivre en réelle harmonie avec la nature qui avait établie son propre cycle et qui ne le changerait pour rien au monde car elle n'a pas pitié de nous, animaux soumis à elle, Grand Manitou de la vie.

Je contemplais la rivière en l'attente d'une proie passant par là. À ce moment, j'avais déjà trois poissons pour le clan. Mais au fur et à mesure que le temps passait, il faisait plus chaud et ce lit d'eau calme subissait tout, exposée au soleil. Pourtant, un petit animal passant par là se fit remarquer d'est le premier coup d'œil. La patte déjà levée vers 'e ciel sans faire d'ombre, je décide de plonger ma patte dans l'eau et d'un couo de griffe, j'en sors une magnifique carpe alléchante. Tandis qu'elle se débat hors de l'eau à la recherche d'oxygène qu'elle trouve dans sa superbe rivière, je l'achève d'un couo de croc, abrégeant ses souffrances. Je lève les yeux au ciel et remarque que le soleil est dejadéjà bien haut dans les cieux et qu'il est l'heure de manger. Comme pour confirmer cela, mon ventre se met à gargouiller. Je prends alors toutes mes proies - oui, toutes - dans la gueule et rentre au camp avec une crampe à la mâchoire. Je dépose le tout sur la tas de gibier et remarque que Complainte Mélodieuse mange seule. Un soupir s'échappe de ma gueule, voyant encore quelqu'un sans compagnie. Je prends un petit poisson puisque l'appétit est là mais n'est pas très grand et m'approche d'elle. Sachant qu'elle ne refuserait pas une présence, je me couche à ses côtés.

« Alors, Complainte Mélodieuse, comme vas-tu aujourd'hui ? » demandais-je après avoir déposé ma proie au sol.

Il est vrai que j'aimais énormément prendre des nouvelles de mes proches. Et surtout des chats de mon Clan dont cette guerrière en fait partit. J'étais prêt à tout piur ce dernier, même tuer un chat du Clan de l'Ombre s'il fallait, qu'il est été mon ami comme mon ennemi. Je me dévoue corps et âme à ce que j'aime plus que tout au monde.

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Une patte contre le sol mou et chaud, où l'herbe verte s'agitait avec calme au grès du vent. Complainte mélodieuse se baladait entre la rivière et le camps, fixant le paysage ensoleillé depuis le petit matin. Les doux raillons de se soleil réchauffer le pelage soyeux de la jeune chatte qui appréciait bien toutes ses promenades, qui lui permettait d'ailleurs de se dégourdir les pattes. Ses oreilles se redressère sur le sommet de son cr^ne, orientées vers la rivière, un poisson venait de sauter vers le ciel et en retombant contre l'eau transparente, il fit un bruit monstre et de petites gouttes d'eau furent projetées sur Complainte, qui ne sembla en aucun apprécier cela.

Complainte Mélodieuse se tourna vers le camps, elle avança d'un pas lent vers un endroit pour s'allonger où, pendant un petit moment elle se sentait libre de regarder ce qu'elle voulait voir et c'est donc pour cela que son regard se tourna de nouveau vers la rivière. La rivière évoquait pour elle beaucoup de choses différentes, des choses bien ainsi que des choses mauvaises, mais tout d'abord, l'eau lui évoquait l'immensité, la nuit, elle sortait souvent pour fixer le clan des étoiles dans la réflexion de ce miroir, qui révèle qui sont réellement les chats du clan. Complainte mélodieuse n'as absolument aucuns contact avec le clan des étoiles, mais elle y croit c'est un de ses refuges, elle traduit cet endroit par un endroit de paix infinie. Complainte était désorméedans un état secondaire, trop occupée à réfléchir pour pouvoir sentir la faim qui montait dans son corp, comme une maladie obligeant un être à se détaché de ses occupations pour ne pas perdre la vie. Car la vie pour complainte mélodieuse, c'est une façons de montrer aux gens que même avec ce qu'elle a vécu, elle peut toujours se montrer forte en vivant. Un immense gargouillis remplis alors le silence de ses pensées, Complainte releva la tête, ses yeux embrumés reprirent leur couleur initiale. Elle prit appuis sur ses pattes arrières pour s'étirer un instant avant d'aller vers le " tas de proies " comme elle l'appelait et attrapa un petit poisson, avant de faire demis tour et de s'allonger de nouveau mais, cette fois-ci, sur une pierre chaude. Brusquement, elle sent une présence derrière elle, ses oreilles pivote de façons à entendre. Et là, Vent du sahara s'allonge à son côté. La jeune chatte ne pouvait pas refuser de la compagnie elle n'en avait que très rarement, alors pour une fois, pourquoi pas ?

« Alors, Complainte Mélodieuse, comme vas-tu aujourd'hui ? » Dit-il posant sa proie au sol.

Complainte mélodieuse ferma un couet instant les yeux, comment allait-elle ? Très bonne question, il faillait qu'elle y réponde mais tout ne vas pas bien chez elle, mais la réponse à cette questgion est toujours la même.

« Je vais bien merci, je te retourne la question, comment vas-tu ? »

C'était sûrement la réponse la plus fausse qu'elle n'avait jamais dite de sa vie, elle éspérait néanmoins qu'il ne s'en apercevrait pas. De toute façons, personne ne s'apperçois jamais de rien avec elle, pas même quand elle allait réellement mal.

hrpg:

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Vent du Sahara n'était pas du genre grincheux et appréciait toute bonne compagnie. Il n'était pas du genre solitaire et ne rejetait personne. De là où il était, sur une pierre chaude un peu petit un hauteur, il voyait pratiquement tout le camp muni de guerriers mais surtout d'apprentis dont la sienne, Nuage de Flocon. Il savait qu'il devait passer à l'entraînement de chasse aujourd'hui avec elle, mais pour le moment, il mangeait tranquillement et simplement son jeune poisson aux côtés de Complainte Mélodieuse qui avait exactement la même portion que lui.

Éprouvant d'un long bâillement de fatigue, il rigola quelque peu avant de se reprendre. Il fallait qu'il reste sérieux même s'il aimait tant que ça rire. Tout le monde n'avait pas le même humour et il n'avait aucune idée de celui de Complainte Mélodieuse, pour être exacte. Il la connaissait trop peu pour prédire sa réaction lorsqu'il tentait d'amuser un peu son entourage. Il la voyait souvent hors de la tanière des guerriers le soir mais savait très bien qu'elle ne passait pas son temps à flirter avec un mâle. Elle avait assez confiance en elle pour ne pas croire cela. Mais il la sentait mal de temps à autre. Ou pourquoi pas triste, ce qui le rendait pareil pour la journée. Alors, quand tour commençait bien, il ne préférait pas y penser. Mais aujourd'hui, même après une bonne matinée, il avait envie d'en savoir un peu plus sur ce qui l'intriguait.

« Je vais bien merci, je te retourne la question, comment vas-tu ? »

Bien qu'il ait confiance en elle, Vent du Sahara savait que quelque chose clochait. Donnant un coup d'œil rapide au camp, il remarqua que Nuage de Flocon était toujours en bas, maintenant en compagnie de Nuage de Givre, les deux femelles s'amusant ensemble. Un léger sourire s'afficha sur son visage pensif. La première féline avait été retrouvée près de la rivière et le matou roux avait décidé de l'adopter. Il rêvait depuis bien longtemps de devenir père et pour le moment, sa novice était sa petite fierté.
Le rouquin lâcha don attention de la féline pour la reporter à Complainte Mélodieuse. Il réfléchit un instant pour sa réponse avant de s'exclamer :

« Et toi ? Es-tu sûre d'aller bien ? »

Il voulait faire cesser de faire planer le mystère, il fallait que la guerrière lui dise ce qui n'allait pas. Rares étaient les fois où il voyait la femelle sourire et commençait à s'inquiéter pour son cas. Dehors sortait déjà Reine des Neiges accompagnées de ses petits. L'esquisse d'un rictus pointait le bout de son museau sur le visage familier de Vent du Sahara qui reconnaissait au loin celle qu'il aimait plus que tout.

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Complainte Mélodieuse détenait son dos en tirant sur ses muscles. Elle Lancia un regard au mâle allongé à son côté. Son regard semblait distrait par quelque chose. La chatte suivit donc ses yeux jusqu'à voir ou exactement le matou regardait. En fait, il y avait la une novice qui semblait tout sourires. Complainte ne connaissait pas exactement le nom de tout les novices et encore moins leur mentors. Mais en voyant l'expression du regard de Vent du Sahara elle pouvait aisément deviner que cette femelle en contre bas était sa novice.
La femelle détournant son regard de la novice pour le reposer sur le guerrier. Elle vit lentement ses babines se soulever, et sentit qu'il allait rire ou autre chose de ce genre là. Pour dire vrais, rire n'arrive pas souvent à Complainte. Elle n'aime pas beaucoup cette sensation en fait. Le but est de se contracter au point qu'un certains muscles commence à d'actionner histoire de faire jaillir l'air des poumons de façon irrégulière qui provoqu habituellement un bruit de ce genre ci : " hi hi " ou " ah ah ".

Complainte avait entendu dire que Vent du Sahara aimait transmettre sa joie aux autres membres du clan. Un peu comme un protecteur de celui-ci. Ce qui explique pourquoi il est venue voir la femelle marron. Complainte est souvent seule. Donc pas joyeuse. Donc triste selon les dires. Mais en vérité c'est tout le contraire. Complainte trouve dans sa solitude du réconfort et de la paix. Et c'est alors qu'une bride de souvenir remontant en elle. Elle se souvint du jour où elle était penchée de cette sorte de butte, elle avait une vue total sur la ville des bipèdes. Elle entendait le bruit, non, le boucan que faisait leur engins, et pourtant, le net qui écoutait les feuilles des arbres l'avait detendu, elle était seule, et elle allait bien. Ce petit vent ne pouvait pas lui faire de mal. Il la réchauffant et la reconfortait tout en même temps. Elle se souvenait de cette sensation de puissance qiand elle allait mal. Alors pourquoi s'en souvenir maintenant ? Elle n'en savait rien. Probablement est-ce à cause du fait que quelqu'un s'approche trop près d'elle sans pour autant prendre conscience du fait que sa carapace n'est pas brisée en mille morceaux. Complainte revint à elle est leva le menton vers les nuages enverite, il n'y en avait pas tellement dans le ciel aujourd'hui. Mais les peu que la chatte pouvaient apercevoir était ce qu'il se fait de mieux en qualité de nuage. Ils étaient tous un peu près de la même forme douveteuse, aux bords soigneusement arrondis. Mais par dessus tout, ce qui faisait briller les yeux de Complainte en ce moment était le fait que ces nuages sont blanc. D'un blanc vif qui éclaire le ciel à cause de la réflexion directe qu'ils ont avec le soleil.

Complainte remarqua alors que le mâle semblait perdu dans des réflexions. Pour complainte quand un chat réfléchit en face d'elle sans la regardait directement c'est qu'il réfléchit quelque chose sur elle. Mais tout cela était bien fréquent et la chatte n'y faisait plus attention.
C'est alors qu'elle sentit que le matou réfléchie disait à une réponse adéquate une réponse à quoi ? Ca complainte n'en avait aucune idée, et elle s'en fichait. De toute manière. Mais ce qui la choquant le plus c'est ce regard qu'il posait sur elle. Un regard histoire de dire : " Je sais que quelque chose ne va pas, alors dis moi vraiment ce qui te pose problème. " Mais si il lui pose cette question, le problème devient de plus en plus grave car dans ce cas la, elle d'aucune reponse, ce n'est pas sa faute aprestout si elle précité la solitude si ? Elle a le droit d'aimer ce qu'elle veut enfin !

« Et toi, es-tu sur d'aller bien ? »

Et voilà ! Complainte d'y attendait gros comme une maison de bipèdes. Elle avait vu cette émotion dans le regard de Vent du Sahhara er elle se doutait carrément de ce qui allait suivre. Si elle allait bien hein ? Bah la réponse exact c'est " non plus maintenant, merci " Complainte sentit monter en elle une sorte de colère. Mais c'était une colère mal dirigée, elle ne pouvait pas lui en vouloir si il pensait que quelque chose n'allait pas. Mais maintenant elle se retrouvait dans un cul-de-sac dans issus. De ne pouvait rien répondre de vrai, alors pourquoi ne pas changer le sujet ? Parti sur autre chose ? La chatte fit le tour du camp et aperçut reine des neiges avec ses chatons. Idée !

« Tu l'aimes hein ? » et du bout du museau elle indiqua la chatte et ses chatons. Au final l'issue est peut être trouvée

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eat together tightens the links

Vent du Sahara feat. Complainte Mélodieuse

Son amour pour Reine des Neiges était irréprochable. Il lui donnait tout, il était là pour ses enfants et même ceux qui n'étaient pas les siens mais ceux de Cœur du Temps, en son nom, il leur offrait une seconde chance de penser avoir un père. Il voulait au moins les traiter comme ses propres petits pour sa compagne et pour le défunt lieutenant.
Vent du Sahara lâcha son regard de la reine lorsque Complainte Mélodieuse la pointa du museau. Il sembla qu'elle allait dire quelque chose. Le rouquin tourna alors une nouvelle fois la tête vers la femelle mais elle entra dans la pouponnière, suivit de près par ses deux petiots.

« — Tu l'aimes, hein ? demanda une voix familière. »

Complainte Mélodieuse semblait n'avoir aucune envie de parler d'elle et de son bien-être. Elle préférait changer immédiatement de conversation en utilisant la famille du mâle roux. Ce dernier la regarda d'un air désapprobateur puis d'un air qui voulait tout dire tout en haussant un sourcil. Il se tourna complément vers la guerrière et la fixa droit dans les yeux. Elle lui cachait quelque chose, elle ne voulait pas qu'on s'intéresse à elle. Alors, le combattant, par sa queue, la guida loin des regards et des oreilles indiscrètes pour pouvoir discuter plus tranquillement avec elle.

« — Complainte Mélodieuse, dis-moi ce qui se passe, ce qui va pas. Tu peux m'en parler, tu sais, jamais je ne dirais quoi que ce soit. Tu as ma parole. lui demanda-t-elle d'un ton on ne peut plus sérieux. Il avait besoin de savoir. Elle semblait avoir besoin d'aide. »

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Vent du Sahara semblait avoir comprit, mais comprit quoi exactement ? Il s'était totalement tournée vers la femelle et la fixait avec des yeux qui semblait transcrire une émotion sans pour une fois que Complainte n'arrive à comprendre laquelle. Le mâle s'était levé, et commença à se dirigé vers un endroit plus isolé où les autres ne pouvaient pas entendre la conversation. Complainte l'avait suivi, docile, ses pattes se posaient au sol et faisaient remuer ses épaules qui se montaient et descendaient au rythme irrégulier de ses pas. Elle entendait la respiration de vent du Sahara, longue et bruyante bien sûr, c'est que l'art de respirer échappe à la plupart des chats mais n'échappe pas à ceux qui savent écouter.

« Complainte Mélodieuse, dis-moi ce qui se passe, ce qui va pas. Tu peux m'en parler, tu sais, jamais je ne dirais quoi que ce soit. Tu as ma parole. »

C'était sérieux ? Non, mais il n'avait pas comprit la bonne chose dans ce cas. Complainte plaque ses oreilles en arrière et son museau se plissa pour former des lignes horizontales et verticales, elle aurait feulé si cela n'avait pas était trop à son goût. La guerrière ne se mêlait* pas des affaires de ce mâle roux, alors pourquoi le faisait-il ? De toute façon, qu'est-ce-qu'une réponse pourrait changer à sa vie ? Complainte ne parle pas d'elle et elle à ses raisons. Le pire, c'est que le matou avait dit ça sur un ton plus sérieux qu'avant, comme si la réponse était un choix entre la vie et la mort pour lui.
La femelle posa ses pattes avec plus de fermetés au sol, et redressa ses oreilles pour paraître plus grande. Les traits de sa gueule semblèrent se détendre, pour laisser place à la tête d'une chatte qui semblait avoir quatre ans de plus.

« Alors comme ça, tu veux savoir ce qu'il y a ? Mais il n'y à rien, du moins, rien qui regarde quelqu'un qui n'est pas moi. J'ai selon toi l'air d'avoir besoin d'aide ? Mais qui es-tu pour me juger, je ne te juge pas. Et me poser ouvertement la question sur ce qui me détruit n'est ni fin, ni malin. Mais si tu veux avoir une réponse, la voilà, j'ai tout perdu, et je ne me trouve plus. »

La femelle se détourna et poussa un long soupir en partant vers les autres chats à une allure très lente, elle avait dit à ce mâle tout ce qu'elle ne voulait pas se dire à elle même, il est vrais qu'elle cache d'autres secrets, mais des secrets dont elle ne connait plus la cause, car ce ne sont pas ses secrets qu'elle gardes mais les secrets des autres, de ceux qui ne cherchent pas à se protéger, de ceux qui ignore tout de la mort et de la souffrance, de ceux qui ne pleurs pas les morts d'autres temps. Mais peut être aussi, ceux qui ne les entendent pas.

Spoiler:

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J'up parce que ça fait quand même un mois :3

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